hauteurs d’El Alto, ville dans la ville, quartier populaire habité essentiellement par les aymaras (indiens) et situé à plus de à plus de 4000 mètres.
Nous « descendons » et traversons tout La Paz. Inutile de préciser que le trajet fut assez sportif avec des voitures dans tous les sens (80% de minibus et de taxis) qui klaxonnent au lieu de freiner, des piétons qui traversent un peu partout, et une route pas toujours éclairée (surtout à El Alto), bref une arrivée qui nous met tout de suite dans le bain de cette ville très très animée.
Nous arrivons donc à l’hôtel Oberland dans le sud de la ville, une adresse bien connue des camping caristes, il y est possible de bivouaquer dans le jardin. Sécurité pour le camping car, sanitaires, jeux pour les enfants, une piscine couverte, la WIFI (le luxe pour nous qui sommes habitués aux cybercafés) et de surcroît une altitude (3200 mètres) plus tolérable pour passer de bonnes nuits…Et tout ça à ½ du centre de La Paz en bus, bref une bonne adresse !
Nous « descendons » et traversons tout La Paz. Inutile de préciser que le trajet fut assez sportif avec des voitures dans tous les sens (80% de minibus et de taxis) qui klaxonnent au lieu de freiner, des piétons qui traversent un peu partout, et une route pas toujours éclairée (surtout à El Alto), bref une arrivée qui nous met tout de suite dans le bain de cette ville très très animée.
Nous arrivons donc à l’hôtel Oberland dans le sud de la ville, une adresse bien connue des camping caristes, il y est possible de bivouaquer dans le jardin. Sécurité pour le camping car, sanitaires, jeux pour les enfants, une piscine couverte, la WIFI (le luxe pour nous qui sommes habitués aux cybercafés) et de surcroît une altitude (3200 mètres) plus tolérable pour passer de bonnes nuits…Et tout ça à ½ du centre de La Paz en bus, bref une bonne adresse !
Nous allons y rester une dizaine de jours, et passer 3 jours avec Armelle et François que nous avons une fois de plus retrouvé avec beaucoup de plaisir. Antoine ne se lasse pas de jouer avec leur balai et n’arrête pas de demander où est passer « Amelle » !
Et quelle ne fut pas notre surprise, à la fin de notre séjour, de voir arriver dans le jardin de l'hôtel un camping car français immatriculé "26"...Les drômois en Amérique du Sud!!
Notre découverte de la Bolivie commence donc dans cette capitale, la plus haute du monde, étagée de 3200 mètres – où nous dormons, une chance !- à plus de 4000 mètres.
L’Hotel est située dans le quartier riche, en bas de la ville alors que les quartiers populaires se trouvent tout en haut. Nous y trouvons de très belles maisons, toutes sortes d’enseignes internationales…pas la Bolivie qu’on imagine (60% de la population vit sous le seuil de pauvreté).
Notre découverte de la Bolivie commence donc dans cette capitale, la plus haute du monde, étagée de 3200 mètres – où nous dormons, une chance !- à plus de 4000 mètres.
L’Hotel est située dans le quartier riche, en bas de la ville alors que les quartiers populaires se trouvent tout en haut. Nous y trouvons de très belles maisons, toutes sortes d’enseignes internationales…pas la Bolivie qu’on imagine (60% de la population vit sous le seuil de pauvreté).
Des bus ou des « microbus » ou des taxis nous amènent dans le centre. Beaucoup de monde, du trafic, des klaxons, des bus, des marchés en tout genre à tous les coins de rues… ça grouille.
Beaucoup de couleur aussi, avec toutes ces femmes en habit traditionnel (les chollas) qui portent leur bébé, ou de la marchandise, sur le dos ; et aussi dans les nombreuses boutiques où s’entassent pulls, bonnets, châles, tissus, tapis et couvertures...La ville est vraiment pleine de vie, et c’est un vrai bonheur de s’y promener. Un bonheur aussi pour le « shopping », rien n’est cher ici!
Beaucoup de couleur aussi, avec toutes ces femmes en habit traditionnel (les chollas) qui portent leur bébé, ou de la marchandise, sur le dos ; et aussi dans les nombreuses boutiques où s’entassent pulls, bonnets, châles, tissus, tapis et couvertures...La ville est vraiment pleine de vie, et c’est un vrai bonheur de s’y promener. Un bonheur aussi pour le « shopping », rien n’est cher ici!
En tout cas, cette ville parait bien loin de l’image que nous nous en faisions. La (très) réelle pauvreté est loin de certaines caricatures que nous pourrions faire. Les gens sont agréables, souriants et le contact assez facile, la mendicité plutôt discrète, et un réel sentiment de sécurité nous accompagne partout. Nous déambulons (et grimpons !) très tranquillement dans les rues,
Sa situation, au cœur des Andes, encaissée dans une vallée, et entourée de montagnes, est vraiment incroyable, dans un environnement où personne ne penserait possible de bâtir une ville.
Sa situation, au cœur des Andes, encaissée dans une vallée, et entourée de montagnes, est vraiment incroyable, dans un environnement où personne ne penserait possible de bâtir une ville.
Maintenant direction le sud de la Bolivie...Potosi, Uyuni et Sucre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire